Le Tribunal d’Alger s’est penché aujourd’hui sur la demande du ministère de l’intérieur, du mois de mai dernier, visant l’association RAJ.
L’association éponyme née dans le sillage des dynamiques civiques post-88 fait l’objet d’une demande de dissolution de la part des autorités. Celles-ci accusent l’association d’avoir, entre autres, des activités en contradiction avec les objectifs énumérés dans ses statuts.
Son ancien Président Hakim Addad évoque un risque d’extinction « par le fait du prince »
Le sort de l’association est fixé au 13 octobre prochain date à laquelle le dossier est mis en délibéré.
RAJ vivier de militants active depuis près d’une trentaine d’années. Sa disparition serait une autre déconvenue pour les libertés politiques.